L'apocalypse : journal intime

Dans ce journal je vais vous raconter comment l'Homme en sa grandeur c'est retrouvé impuissant face a lui même. Enfin j'écris ça mais personne ne sera la pour le lire....
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Première partie : Le début de la fin


21 Décembre - 6 h00 : Je suis encore dans les bras de Morphée quand tout a coup mon père vient me sortir du lit en me tirant assez violemment par le bras, étant encore a l'état de zombie je ne comprend pas ce que mon père me hurle en me tirant toujours par le bras en direction de la cave...
Il me bouscule et je débagoule les escalier comme un vulgaire sac de patate.

Déranger par ma cuite de la vieille que j'avais pris avec mes potes, je ne réalise pas tout de suite ou je suis ni ce que je fou là. J'ai juste cet affreux mal de crane et je suis encore a moitié nue le corps étalé de tout son long sur le sol dur et humide de la cave.

Puis mon père revient avec ma mère et ma sœur en descendant les escalier avec panique.

Moi : humffffff mais qu'est ce qui se passe la
Mon père : on a pas le temps enfile ça, mon père me jeta un jean avec un t shirt et une blouse en cuir provenant de mon armoire.
Moi : mais papa qu'es ce qui t'arrive on vas ou ???
Ma mère : Fait ce que dis ton père Chris on a pas le temps, et là, à cet instant, ma petite sœur se met a pleuré dans les bras de ma mère.

Ne comprenant pas la situation j'enfile mes vêtements le plus vite possible sans discuter.
J'allais pour enfilé mon blouson quand soudain une lumière vive provenant des fenêtre de la cave nous a aveuglâmes, et un son terrible me fit presque explosé les tympans...

+1. Personne ne lira un truc aussi mal écrit.

Si tu sais que c'est mal écrit, c'est que tu l'as lu gold, désolé, mais tu t'es trahi ^^

Mon regard s'est arrêté sur le "nous a aveuglâmes", c'tout. J'avoue que je l'ai lu ensuite, mais avec réticence.

Soyons constructif, objectif, saluons l'effort de notre camarade de nous fournir un texte avec plein de mots compliqué tout partout.

Je pense que, dans le "nous a aveuglâmes", le "a" en trop doit être une faute de frappe, 'fin je crois.

Hum ensuite, il y a quelques fautes d'orthographe, pis je trouvais ça pas mal jusqu'à ce que je lise "[...] et je débagoule les escalier comme un vulgaire sac de patate."
Oo

Et aussi, l'expression "Déranger par ma cuite de la vieille que j'avais pris avec mes potes" que je ne comprends pas très bien...

Et les dialogues sont, comment dire, mal construits, normalement ça devrait donner à peu près:

"Humffffff...! Mais qu'est ce qui se passe là ? demandai-je en paniquant.
- On a pas le temps ! Enfile ça, répondit mon père en me jetant un jean avec un t-shirt et une blouse en cuir provenant de mon armoire.
- Mais papa, qu'est-ce qu'il t'arrive ? On va où ?!
- Fais ce que dit ton père, Chris, me cria ma mère, on a pas le temps !"
Et là, à cet instant, ma petite sœur se mit à pleurer dans ses bras.

Enfin, après, je ne suis pas une super-pro en fic, ce n'est que mon humble avis.

Hurricane a écrit:

Et aussi, l'expression "Déranger par ma cuite de la vieille que j'avais pris avec mes potes" que je ne comprends pas très bien...

Tu ne sais pas ce que ça veut dire se prendre une cuite ?

Peut-être que si, mais une cuite de la vieille...moi non plus je pige pas xD

Je pense que c'est une faute de frappe, il a sûrement voulu dire "veille".
Enfin je pense, moi c'est comme ça que je l'ai compris en tout cas...

En gros le mec s'est bourré la gueule avec ses potes la nuit d'avant, la formulation est juste un peu maladroite.