La grande époPW

Bonjour bonsoir,

Je vous invite à participer à une fan-fic interactive qui va fonctionner avec une balise rand ET votre imagination.

Les règles ? Simple. Vous incarnez un personnage défini. Vous enchaînez l'histoire en interagissant avec les autres personnages/situations précédentes. Vous pouvez utiliser un narrateur omniscient/interne/externe... laissez-vous guider par votre style et vers où vous souhaitez guider l'histoire. Essayez juste de rester un minimum cohérent avec le fil.

Et en-dessous de votre histoire, vous mettez une balise rand. [rand]1,20 [/rand]

1= Phoenix Wright
2= Maya Fey
3= Le personnage que vous voulez
4= Paul Défès
5= Benjamin Hunter
6= Apollo Justice
7= Bobby Fulbright
8= Le personnage que vous voulez
9= Ema Skye
10= Le personnage que vous voulez
11= Vérité Wright
12= Manfred Von Karma
13= Franziska Von Karma
14= Godot
15= Le Juge
16= Le personnage que vous voulez
17= Viktor Boulay
18= Dick Tektiv
19= Kristoph Gavin
20= Le personnage que vous voulez

Le posteur suivant continue l'histoire en fonction de ce qu'affiche la balise rand.

Voilà. Vous pouvez finir une histoire si vous le jugez bon, et ainsi s'enchaînera une nouvelle story après..., etc, etc.

Nombre aléatoire (1,20) :

17

Un jour d'été, Victor Boulay s'est fait racketter ses lunettes.

Nombre aléatoire (1,20) :

3

J'avais commencé à écrire quelque chose là xD bon du coup je reprends Boulay pour mon histoire, et ouais c'est long, mais vous sentez pas obligé de faire aussi long x) j'ai juste rien d'autre à faire

Le pauvre était sous le choc devant tant de violence, mais il se réconforta en se repassant la scène d'il y a quelques mois pour la énième fois, lorsque le juge a prononcé le verdict d'une voix forte et claire : « Coupable ! », après avoir donné un coup de marteau marquant la fin de cet épique procès au cours duquel Boulay avait accusé et objectionné comme un dieu. Il se rappela avec satisfaction de la tête de Phoenix Wright, cette légende du barreau qu'il avait battu et écrasé comme un insecte. L'avocat était en larmes devant sa défaite, tandis que le public en délire acclamait le procureur et criait son nom.
Peut être que cela ne s'était pas exactement passé de cette manière. Peut être que le juge avait parlé dans sa barbe au moment du verdict, et peut être aussi que Wright, ayant découvert la culpabilité de son client, a aidé Boulay à le faire condamner. Mais le procureur de talent savait qu'au fond, c'était bel et bien lui la star de ce procès, et que c'était grâce à lui qu'on a pu condamner ce dangereux criminel. Il rayonnait de fierté et se remémorer ces évènements suffit à le faire se sentir mieux tout de suite. Il continua sa route avec un sourire triomphant aux lèvres.

Nombre aléatoire (1,20) :

18

"Hep, mon vieux!"
Victor Boulay se retourna, indigné par cette interpellation grossière. Sans ses lunettes cependant lui apparut une silhouette massive de vert délavé.
"Comment osez-vous vous adresser à moi ainsi ?! Je suis le grand, le magnifique, Maître Boulay ! N'avez-vous pas assisté à ma superbe victoire ?"
"Oh... Désolée, mon vi- je veux dire, Monsieur Boulay !"
"C'est Maître Boulay !"
"Maître Boulay, rectifia la voix d'un air peiné... Vous vouliez me parler ?"
Il plissa les yeux, mais ne parvint toujours pas à distinguer la personne en face de lui, ni à se souvenir de l'avoir appelée, d'autant qu'elle lui semblât des plus insignifiantes.
"Euh... Certes ! répondit-il incertain. J'ai besoin que vous, euh... Que vous alliez me chercher un inspecteur ! Et vite, surtout !"
Bien pensé, Victor! Ainsi quelqu'un viendrait s'occuper du violent et choquant rapt de ses chères lunettes, sans qu'il ait à se diriger à tâtons dans le tribunal.
D'un "Bien monsieur !" s'en allât alors Dick Tektiv à la recherche d'un inspecteur en vitesse, oubliant qu'il en était lui-même un...

Nombre aléatoire (1,20) :

4

Amusante idée! Je me suis laissée prendre au jeu...

"Quand Paul Défès arrive, tout part à la dérive !", un dicton que l'illustre avocat Maître Boulay saura retenir...

Alors que Paul Défès sortait de chez lui en direction d'un champ de patates (dans l'optique d'en chiper une poignée, et de les faire griller dans un feu de camp, comme un artiste marginalisé), il entendit la course-poursuite effrénée d'un bandit et d'un inspecteur que nous ne connaissons que trop bien, Dick Tektiv.
"HEP TOI ! Reviens ici ! Rends-moi mon donut !" criait désespérément Dick Tektiv.
Il se produisit quelque chose d'inattendu. Le voleur, qui s'avérait aussi imprudent qu'idiot et s'était accessoirement amusé à brutaliser Maître Boulay pour lui piquer ses lunettes, fit un pas de côté afin de poursuivre sa route sans heurter le flegmatique piéton devant lui. Paul Défès, curieusement, mima ce déplacement latéral avec une synchronisation totale. Le pauvre bandit cogna violemment Paul et les deux chutèrent. Paul Défès lui tendit la main : "Rien de cassé vieux ?" et écrasa la paire de lunettes de Boulay. Dick Tektiv, reprenant son souffle, lui tendit les menottes.

Paul Défès sans crier gare continua son chemin sans demander son reste, et il en avait profité pour s'équiper d'une nouvelle monture : la paire de lunettes un peu cassées de Boulay, qu'il qualifiait de stylée et digne de l'artiste qu'il était.

Dick Tektiv, lui, restait focalisé sur son donut, qui représentait quand même une bonne partie de son salaire.

Nombre aléatoire (1,20) :

3