[Affaire SE-7] Appartement de Dorian Garner

Cela ne prit guère longtemps pour l'agente de repérer une autre voiture, portant les couleurs de la police parisienne, garée dans le même parking qu'elle-même. Une autre courte inspection l'ammena à trouver deux hommes vêtus d'un uniforme d'officier de police qui patientaient devant l'entrée du bâtiment, bien à l'abris de la pluie sous l'arche devant la porte. Luserina dut cependant les rejoindre devant l'entrée pour analyser leurs traits physiques : l'homme de gauche avait des cheveux noirs mi-longs et une très légère barbe qui lui donnait une impression de négligence ou d'insouciance. L'autre officier semblait être virtuellement le contraire : blond, coiffure courte qui dépassait à peine son couvre chef et se tenait impecablement dressé devant l'arrivée de l'IGP. Ce fut l'homme aux cheveux noirs qui leva la parole :

[???] : "Vous êtes madame Wisemail ?"

[Luserina] : Mademoiselle.
Bon, suivez moi jusqu'à l'appartement de Garner. Le blond entrera avec moi, et le negligé montera la garde devant la porte et éloignera les curieux.

Luserina se met en route vers la cage d'escalier tout en continuant à parler.

[Luserina] : Ne le prennez pas mal monsieur le negligé, je trouve que ça vous va bien, ça a même son charme en fait. Oh, et quels sont vos noms ?

Si le "négligé" avait été le moins du monde offensé par l'appellation, il n'en montra pas signe. Au contraire, sa réponse fut d'élargir son sourire et aurait presque rigolé de bon coeur devant le compliment qui s'ensuivit si son collègue ne lui avait pas jeté un regard signifiant clairement qu'il devrait se retenir. Néanmoins, il fut incapable de s'empêcher répondre avec un ton taquin :

[???] : " Officier Kevin Ryman. Et le bourgeois à côté de moi s'appelle Will Raymon. Pour vous servir, mademoiselle."

Il termina avec un rictus qui suggérait que la perspective que la femme en face de lui ne soit pas mariée le satisfaisait. Son collègue se détourna de lui avec un regard qui voulait dire "Je ne connais pas ce demeuré.". Sur ce, la cage d'escalier commença à grimper jusqu'à l'étage où se trouvait l'appartement de Dorian.

La fine équipe se plaça devant la porte, Raymon en avant qui appuya sur la sonnette. Il patienta quelques instants et refit un essai, mais il n'y eut pas de réaction. L'officier rappuya une trosième fois, et accompagna le geste en frappant à la porte, prévenant que c'était la police. Mais même après une deuxième tentative de cette méthode, il n'y eut toujours pas la moindre réponse de l'intérieur de l'appartement :

[Ryman] : "Peut être elle s'est absentée ?"

Proposa l'officier aux cheveux noirs, mais son partenaire rejeta tout de suite l'idée :

[Raymon] : "Son dossier médical l'interdit de faire de longues marches tant qu'elle n'est pas complètement rétablie. Elle peut se balader d'elle-même dans l'appartement, mais pas plus. Elle ne peut pas sortir dehors sans accompagnement."

Durant un instant, Luserina regretta de ne pas avoir demandé les clefs de Dorian, qui lui avaient sûrement été confisquées, puis rejetta ce regret quand le policier fit remarquer à juste titre qu'ils avaient toutes les raisons du monde de défoncer la porte, poussés par l'inquiettude.
("Enfin, je suis peut-être un peu rapide en conclusion, peut-être qu'elle prend des somnifères entre d'autres médicaments.")

[Luserina] : On n'a pas trente-six milles solutions, en l'absence de réponse, on va devoir défoncer la porte. Je choisirais bien l'option du serrurier, mais on n'a pas de temps à perdre étant donné le probable état d'urgence, puis la ville a largement les moyens.

("Ouais bon, j'ai surtout envie de couvrir un maximum d'éléments de l'affaire avant le premier jour de procès, d'où mon empressement, mais c'est pas une raison valable pour défoncer une porte.")

HJ/ Ptdr Kevin Ryman. XD Joueur de Resident Evil Outbreak Syrul ? Genre t'as joué en ligne sur le #2 ? /HJ

-HJ- Pas joueur, mais spectateur grâce à Youtube, étant donné que je n'ai pas de PS2. Et aussi lecteur de fanfics de Biohazard à temps perdus. Le no-life que je suis ne pouvait s'empêcher de mettre un oeuf de Pâques dans mon affaire, alors j'ai sorti les deux premiers flics Capcomiens qui me passaient à l'esprit. A noter que Raymon est aussi tiré de Outbreak. -HJ-

Les deux officiers se regardèrent un instant avant de s'exécuter, non sans que Kevin ne sortit une remarque cinglante :

[Ryman] : "Dis Raymon, on est en à combien cette année ? Juste pour savoir jusqu'à combien de portes défoncées la ville pourrait-elle se permettre."

L'officier blond hésita un instant à répondre :

[Raymon] : "Ca doit être la septième porte. Maintenant tais-toi et fais ce qu'on te dit !"

[Ryman] : "Si tu le dis, Clint Eastwood."

Termina t-il avec un sourire de requin avant de charger en premier la porte, suivi aussitôt de son partenaire. Les deux policiers continuèrent ensuite de foncer en même temps, afin de renforcer les impacts engendrés. Ce fut au septième essai que la porte finit par céder et vola vers l'intérieur de l'appartement :

[Ryman] : *Le sept a toujours été mon chiffre.*

L'officier aux cheveux noirs n'eut hélas guère le temps de s'amuser de sa remarque, car un simple regard levé vers l'intérieur de l'appartement lui fit exclamer un soupir teinté de surprise et d'horreur :

[Ryman] : "Sacrée m..."

Raymon intervint à temps pour stopper le juron de son collègue en plaçant sa main sur la bouche, même si son propre regard fut incapable de quitter la sinistre scène qui se présentait à eux.

A peine quelques pas après l'entrée se trouvait le salon qui était, pour être direct, un véritable foutoir. Plusieurs objets qui devaient être posés sur les meubles sont tombés sur le sol, et brisés pour une bonne partie. Mais tous les regards se posèrent à côté d'une chaise effondrée, où se trouvait un homme allongé par terre sur le dos. Une conséquente tâche de sang pourpre apparaissait sur le tapis au niveau de son cou, et ses yeux ouverts vides, visage figé dans une éternelle grimace de douleur, convinquirent les officiers qu'il valait mieux qualifier l'homme de cadavre.

Des bruits d'escaliers se firent entendrent derrière les hommes et la femme de l'ordre. Apparemment les voisins alertés par le bruit de porte défoncée étaient en train de les rejoindre. Ryman se remit étonnement vite de son choc initial et sans perdre de temps fit disparaître sa nature insouciante tandis qu'il se rendit à l'extérieur de l'appartement pour écarter les civils de la scène macabre tandis que son collègue commença à s'approcher du cadavre, pistolet entre les mains qu'il pointa à chaque ouverture.

Luserina, qui n'en est pas à sa première scène macabre, loin de là, n'en est pas moins déconcertée de découvrir l'appartement dans cet état là. L'enquête lui paraissait on ne peut plus claire jusqu'à maintenant, mais voila que, soudainement, une porte venait de s'ouvrir, ou plutôt de voler en eclat, pour révèler le chemin vers une vérité bien plus complèxe et sordide qu'il n'y paraissait.

Luserina n'eu aucun mal à se ressaisir, en fait, même avec un oeil attentif, personne ne l'aurait vu défaillir, et elle eu tôt fait de donner ses directives.

[Luserina] : Kevin, eloignez les curieux, Raymon, ne touchez à rien, mais assurez vous qu'il n'y ai personne d'autre ici que ce cadavre et la soeur de l'accusé.
("Ou son cadavre.") Ajouta-t-elle pour elle-même.

Il paraît maintenant évident que Garner n'était pas tout seul dans cette histoire, et tout porte à croire que ses complices avaient vite réagi à la nouvelle de son echec, sois en supprimant sa soeur, sois en l'utilisant comme hôtage et gage de son silence. Bien sûr, il se peux aussi que Garner ai été dès le départ contraint à voler les perles par quelqu'un menaçant la vie de sa soeur.
Pour le moment, les hypothèses vont bon train dans l'esprit de Luserina, mais elle a maintenant l'intime conviction que tout est lié.
Un frisson parcourt son corps tandis que, parce qu'elle prend conscience de la joie qu'elle vient d'eprouver en voyant la complexité de cette affaire atteindre les sommets, un sentiment de culpabilité bien vité écarté s'empare d'elle.
Peut-être cette affaire aussi typique que dramatique jusqu'alors devient-elle paticulièrement passionnante, mais c'est au prix d'une autre vie, peut-être deux.

HJ/Will Raymon ? Ca me dis rien, je me souviens pas d'un Will Raymon parmis les persos secondaires. /HJ

-HJ- Raymon (le Will a été ici rajouté car il n'avait pas de prénom) est le flic au shotgun dans le premier chapitre qui te dit de vider et d'enflammer le contenu d'un camion citerne avant de finir en festin pour zombies. -HJ-

Les deux officiers, plus particulièrement Kevin, auparavant détendus et presque jovials, avaient fait viré leur comportement à 180 degrés en réalisant la gravité de la siltuation, et s'exécutèrent sans dire un mot ou fine remarque. Raymon se mit à arpenter la chambre du petit appartement, avec comme bruit de fond les beuglements de Ryman qui repoussait les civils trop curieux ou insistants, en veillant à ne rien toucher ou bousculer. Deux lits se trouvaient dans la pièce, l'un visiblement ajouté récemment, mais tous deux étaient vides. L'officier commençait à croire qu'il n'y avait personne d'autre qu'eux et ce cadavre dans l'appartement, mais cela ne l'empêcha pas de garder son pistolet bien à côté alors qu'il passa dans la cuisine et la salle de bains. Malheureusement :

[Raymon] : "Il n'y a personne ici, mademoiselle, pas même la soeur de Garner."

Annonça t-il en rangeant son arme. Certes, ils n'avaient pas encore fouillé partout, mais il ne voyait guères d'endroits dans cet appartement qui pourrait cacher une jeune femme qui conserve encore des séquelles de graves brûlures. L'officier blond tourna alors son attention vers le fameux homme mort, vêtu d'un simple jogging et T-shirt, il devait apparemment séjourner ici car ce n'était pas vraiment une tenue pour se promener dehors en cette saison. Ses cheveux étaient roux, ainsi que sa petite moustache qui hélas ne poussera plus, et les traits de son visage mort indiquaient qu'il devait avoir le début de la trentaine de son vivant qui ne devait pas être si ancien vu la fraîcheur du cadavre.

Mais il y avait quelque chose, autre chose, qui perturbait Raymon chez cet homme, autre que le fait qu'il était mort. Il se mit à genoux pour observer plus en détails le défunt, avant de basculer légèrement en arrière, avec une certaine retenue cependant :

[Raymon] : "Veuillez m'excusez mademoiselle, mais j'ai un affreux doute, et je pense que mon collègue pourra le confirmer. Ryman, venez un instant par ici !"

Kevin chassa les derniers curieux avant de rejoindre les deux autres policiers, tandis que son partenaire lui fit signe d'observer attentivement le cadavre. Ce qu'il fit, et avec le même temps de réaction, il eut un effet de surprise identique, mais beaucoup moins retenu :

[Ryman] : "Pas possible, ne me dis pas que c'est Alfonso ?!"

Raymon acquiesça gravement, ses craintes furent confirmées par la réaction de son collègue :

[Raymon] : "Ce qui veut dire, mademoiselle, que ce défunt était un policier. Pire, il était dans le même département que nous : officier Alfonso Riboiré."

HS-Syrulounet, on a besoin de toi, pour le commissariat.-/HS

-HJ- Et moi, j'attends la réaction de [•Bubble•]/Minuki, vu que tu l'as interpellé dans ton post Morganounet . -HJ-

HS-On voit le DVD d'abord, Syrulounet, (Au fait je suis une fille, donc, -ounette)-/HS

[Luserina] : Un policier de votre département ? Un ami de Garner peut-être ?

Luserina en est maintenant certaine, la soeur se trouve maintenant entre les mains des anciens complices de Garner, et tant qu'ils l'auront avec eux, il n'y a que peu de chance pour qu'il coopère. On ne participe pas à un casse de grande envergure par amour pour sa soeur pour ensuite la laisser mourir au nom de la justice.
[Luserina] : ("Je suppose qu'il aura appelé son collègue depuis le centre de détention pour lui demander de protéger sa soeur... En vain.
Des méthodes aussi barbares, peut-être ce Shiryu ?")

Une fois la question posée, Luserina commence à inspecter le lieu du crime, en commençant par le cadavre et ce qui l'entoure.

L'officier blond acquiesça à la question de Luserina :

[Raymon] : "Riboiré était une des rares connaissances de Garner au commissariat en dehors du département de la criminelle. Ils partageaient ... disons ... la même passion pour ... euh ..."

[Ryman] : "... pour la farniente !"

Termina Kevin avec un sourire amusé qui disparut aussitôt. En réalité, lui, Garner et Riboiré avaient passé plus d'une soirée avec d'autres policiers fêtards au bar près du commissariat :

[Ryman] : "En parlant de farniente, cela fait un peu plus d'un mois qu'Alfonso était en congé, il était censé être de retour au poste la semaine prochaine."

Il secoua la tête d'un air désolé :

[Ryman] : "On dirait que je n'aurais pas l'occasion de fêter avec Dorian au bistro son retour."

Raymon laissa son partenaire endurer la perte de leur collègue commun. Son attention s'était portée aux objets renversés autour du cadavre d'Alfonso. Quasiment tous étaient des objets de décorations ou de meubles, sauf pour l'un d'entre eux :

[Raymon] : "Qu'est-ce que c'est ?"

L'officier ramassa ce qu'il sembla être une carte. Mais n'importe qu'elle carte, il constata vite. Dessus était dessiné un coquillage de couleur rose. Raymon lâcha immédiatement la carte comme s'il avait été victime d'un choc électrique, tandis que Kevin de son côté laissa échapper un soupir d'horreur :

[Ryman] : "Non ..."

Personne au commissariat de police ignorait la signification de cette carte près d'une personne assassinée.

Luserina observe la carte un court instant et prononce le nom que personne dans la salle n'a envie d'entendre :

[Luserina] : Bernick de Killer.

Alors qu'elle porte une paire de gants, qu'elle ne quitte jamais durant son service, Luserina prend la carte et la range dans un petit sachet, sorti de sa veste pour l'occasion.
Durant une demi-seconde, un petit sourire s'affiche sur son visage.

[Luserina] : Messieurs, vous n'avez jamais vu cette carte, elle n'éxiste pas, tout du moins tant que je n'aurais pas eu une petite conversation avec l'accusé. J'imagine que cette petite entorse à la regle ne vous plait pas des masses, surtout venant d'un membre de l'IGP, mais c'est un élément clef de l'affaire, et j'aimerais l'utiliser pour ouvrir quelques verrous.

Luserina, qui jubile intérieurement en se repassant les possibilités offertes par ce nouvel élément, sait déjà comment elle va jouer cette carte : elle va la jouer au bluff.
Ensuite, elle laissera la carte aux bons soins du procureur avant le début du procès, afin de rester dans la légalité. Elle aurait aimé pouvoir se laisser le choix de donner la carte à la défense selon le procureur choisi pour l'affaire, mais, malheureusement, elle n'en a pas le droit.

("Bernick de Killer n'est pas un voleur, mais un tueur à gage au proffessionalisme sans faille. Il a sûrement été engagé par les complices que Garner, qui n'ont probablement jamais eu grande confiance en lui.
Mais quelque-chose me turlupine. On ne fait pas appel à de Killer comme on se commande une pizza, l'enlèvement était donc probablement prémédité. Qu'est ce que ça signifie ? Garner est-il vraiment un complice, ou plutôt un hôtage ?
Bah, je le serais bien assez tôt, Garner ne pourra pas me mentir sur ce point précis.")

Un frisson traversa la pièce silencieuse lorsque Luserina prononça le nom tant craint. Mais ce n'était rien en comparaison de l'instruction que leur avait donné l'agente de l'IGP, non pas parce que garder le silence les gênait, mais ce fut le sourire mauvais que la femme tirait qui les firent songer à ne pas vouloir être plus que jamais à la place de Dorian à l'heure actuelle.

Les deux officiers reprirent ensuite leur tâche, Ryman s'en retourna à garder l'entrée de l'appartement tandis que Raymon continua de fouiller l'appartement, bien que l'expression de leur visage indiquait clairement leur trouble d'imaginer la triste fin qu'avait connu leur partenaire. Un lourd et pesant quart d'heure s'écoula :

[Ryman] : "Tu as trouvé autre chose ?"

[Raymon] : "Pas vraiment, non. En même temps, avec de Killer qui a fait le sale boulot, on ne pourrait espérer trouver grand chose que sa carte. Y'a quand même un truc intéressant : ce colis. Il a apparemment été livré hier soir, adressé à Dorian Garner. Il est ouvert... et vide."

-HJ- Carte de Bernick de Killer et colis ajoutés au dossier de l'affaire.

Carte de Bernick de Killer
Carte de visite de l'assassin notoire Bernick de Killer, retrouvée dans l'appartement de Dorian Garner, indiquant qu'il aurait tué Alfonso Riboiré.

Colis en carton
Colis retrouvé sur une table de l'appartement de Dorian Garner adressé à ce dernier. Contenu vide.

Luserina, ressentant le malaise des autres policier, décide tout de même de mettre les choses au clair.

[Luserina] : Ne vous inquiettez pas, mon but n'est pas de mettre Garner dans l'embarras. Ce que je recherche, c'est la vérité, et c'est pas en attaquant de front que j'obtiendrais quoi que ce soi.


Luserina y va d'un soupir entièrement assumé, comme pour faire baisser la pression, et entreprend la recherche de traces d'effraction, puis essaye de retracer le cheminement probable de de Killer.

Ano arriva près de l'appartement de Dorian Garner. Il attacha son vélo prés d'un arbre. Quand il vit la porte défoncées, il s'inquiéta. Est-ce qu'elle était vraiment là ? Enfin, il se décida et vit Madame Wisemail. Ano poussa un soupir de soulagement. Ano vit aussi 2 hommes et un cadavre.

Ano : "Bonjour tout le monde, je suis l'avocat de Dorian Garner, Ano Nyme, Excusez-moi d'être aussi brusque mais Pourquoi y a t-il un mort au milieu du Salon de Dorian ?!"

Luserina va a la rencontre de l'avocat.

[Luserina] : Bonjour monsieur. Vous pourrez tout savoir sur ce que nous savons de ce nouveau drame en lisant le rapport de police. En attendant, je vous sugerre de rentrer chez vous, il n'y a personne à interroger ici.
Quoi que... Si vous avez quelques questions, j'ai bien cinq minutes à vous consacrer.

Ano : *Mais elle essaye de me foutre à la porte !* "Mademoiselle, j'en ai quelques une oui, la première Qui est la victime, comment il est mort et avez vous trouvé quelque chose d'intérréssant. Et aussi, pourquoi voulez vous que je m'en vais ?"

HS-Parce que t'es pas censé être là et le reste doit être dans le rapport de police, si?-/HS

HS : Bah j'enquête De toutes façon je pense pas restez longtemps ici avec Luserina

[Luserina] : Qu'est ce qui vous fait croire que vous êtes abilité à connaître le nom de la victime ? Après tout, cette mort concerne-t-elle vraiment votre affaire ?
Pour le moment, aucune preuve ne lie les deux affaires. Prouvez moi que ce crime et celui dont on accuse Garner sont liés, et je vous dirais tout ce que vous voulez savoir sur la victime.
Pour le moment, sachez juste qu'un meurtre a été commi ici, que c'est donc une scène de crime, et que je ne vous laisserais pas entrer.

Ano : *Une preuve qui lie ce crime et celui qui accuse Garner ?! Où elle veut que je trouve une preuve de ça ?! Le seul lien que j'ai en tête est que c'est l'appartement de Dorian... Mais, j'ai rien à présénter... * "Ici, c'est l'appartement de Dorian Garner donc comme Dorian est accusé... *Je me raccroche vraiment à ce que je peux !* , Mais bon, je suppose que vous voulez que je vous montre quelque chose, or j'ai rien pour le moment.."

[Luserina] : C'est l'appartement de l'accusé, en effet, ce qui lie ce crime, d'une façon ou d'une autre, à Garner. Mais on n'a encore rien trouvé qui puisse prouver que les évènements s'étant déroulés ici ai une correspondance direct avec les autres faits.
Il va me falloir mieux que ça, monsieur l'avocat.